Les pigeons se sont très bien adaptés au stress de la vie urbaine de Montréal. Ils logent sur les toits, les corniches des édifices et dans les clochers d’églises. On les considère nuisibles surtout à cause de la quantité phénoménale d’excréments qu’ils produisent. Les déjections représentent un risque pour la santé et leur acidité ronge le métal et la pierre des édifices. On peut les piéger, une méthode d’extermination de pigeon lente et parfois couteuse. Il faut placer les pièges garnis d’appâts de céréale comme le maïs et le sorgho. Infestation
Comme les pigeons nichent à des endroits souvent difficiles d’accès pour l’homme il n’est pas possible de les déplacer facilement, alors vaut mieux penser à l’extermination de pigeon en utilisant du poison. Pour cette méthode, il faut se fier à l’expertise de compagnies qui se spécialisent dans l’extermination pigeon et autres animaux nuisibles. À l’adresse Internet exterminationpigeon.com, vous trouverez leurs coordonnées.
Après avoir fait l’extermination de pigeon, il faut empêcher l’arrivée d’autres pigeons en détruisant leurs nichoirs et en bouchant les ouvertures des clochers avec du grillage. Il faut obturer toutes les crevasses, les ouvertures et les entrées qui sont en hauteur.
Pour compléter l’extermination de pigeon, il faut également leur bloquer l’accès à l’eau qui s’accumule en hauteur : des flaques de pluie et de l’eau provenant des climatiseurs de toiture.
Il ne faut pas se sentir coupable de faire une extermination de pigeon, car cette race d’oiseaux n’est pas en danger d’extinction. En contrôlant leur nombre, nous travaillons à préserver la santé de la population et le patrimoine architectural de notre municipalité.